Plus de 90 « anciens » – de la promo 2016 jusqu’à la promo 2009 – se sont retrouvés de façon conviviale et ont pu discuter également avec les élèves de Terminale et de Première de leur cursus post-bac !
Nous avons donc pu ainsi démarrer la création de notre annuaire des Alumni de la section anglophone du lycée Duby !
Pour tous les anciens qui n’ont pas encore rempli leur profil, merci de cliquer sur le lien…
Le système éducatif post-bac aux Pays-bas 
Il y a 3 grandes catégories d’établissement d’études supérieures :
–les universités : la plupart des universités sont publiques
– les « university colleges » : structures plus petites que les universités qui disposent souvent d’un campus avec logement. Les promotions sont plus petites et il y a un numérus clausus pour être admis.
– Hbo : ( Hoger beroepsonderwijs ) : études professionnelles supérieures équivalentes à nos BTS ou DUT français qui peuvent durer de 2 à 4 ans .
Les anciens élèves : il existe un groupe Facebook des élèves de Duby qui sont actuellement étudiants aux Pays Bas dans différents établissements : duby nl
Internet : chaque université a son site en anglais sur lequel vous trouverez tous les renseignements nécessaires
https://www.utwente.edu/universitycolleges/university-college-twente/?gclid=CPrTgcL01dACFcwV0wodRF8IPw :Enschede Twente
http://www.auc.nl/ ; amsterdam
https://www.eur.nl/euc/: rotterdam
https://www.universiteitleiden.nl/en/governance-and-global-affairs/leiden-university-college-the-hague/ : leiden, la haye
http://www.rug.nl/ucg/ : groningen
https://www.maastrichtuniversity.nl/education/bachelor/bachelor-university-college-maastricht-7501 maastricht
http://www.ucr.nl/Pages/default.aspx University College of Roosevelt in Middelburg (part of univ Utrecht)
http://www.uu.nl/ucu: utrecht
Moteur de recherche pour les études aux Pays Bas
http://studylink.com/study-in-netherlands/
https://www.studyinholland.nl/ https://www.studyfinder.nl/
Student for a day: si vous ne pouvez pas aller à une journée portes ouvertes , vous avez la possibilité de vivre une journée avec les étudiants sur le campus : prendre RV auprès de l’établissement qui vous intéresse.
– Mme Gerda Catillon : Emile:Bachelor Liberal Arts&Siences à UCU Utrecht gercati@hotmail.fr
– Mme Claudine Magda: Arnaud: Bachelor Business à University of Maastricht claudine.magda@gmail.com
– Mme Diewke Overzee: Yannick: Bachelor Liberal Arts&Sciences à UCU Utrecht dieuwke.simons@gmail.com
En général pour les university collèges, l’inscription se fait en entre décembre et février. Mais dans certains cas, les inscriptions peuvent se faire jusqu’au mois de mai
university environ 2000€ / university college environ 4000 €.
Attention prendre en compte le coût d’achat des livres scolaires ( peut atteindre 200 euros par trimestre )
Elle a lieu en général assez tôt (entre le 16 et 25 août) ; elle est souvent précédée d’une semaine d’intégration
Pour télécharger le dossier d’inscription pour les examens de Cambridge, cliquez ici.
Dossier à rapporter au plus tard le vendredi 13 Avril 2018.
Pour télécharger le dossier d’inscription pour les examens des IGCSE, cliquez ici.
Dossier à rapporter au plus tard le vendredi 16 Mars 2018.
All AM exams start at: 10h- All PM exams start at 14h
| EXAM | DATE | TIME | DURATION |
| IGCSE ORAL EXAMS (French/German/Spanish) | W/B 09/04 | Times to be confirmed | |
| HUMAN BIOLOGY Paper 1 | Wed 09/05 | AM | 2 h |
| HUMAN BIOLOGY Paper 2 | Fr. 11/05 | AM | 1 h |
| ITALIAN short course GCSE Writing | Mo 14/05 | AM | 2h15 |
| FRENCH Listening & Reading | Tues. 15/05 | AM | 2h15 |
| CHEMISTRY Paper 1 | Thur.17/05 | AM | 2h |
| ENGLISH LIT. Drama & Prose Paper 1 | Tues 22/05 | AM | 1h45 |
| GEOGRAPHY Paper 1 | Tues 22/05 | PM | 3h |
| PHYSICS Paper 1 | Wed 23/05 | PM | 2h |
| ITALIAN Short course Reading | Wed 23/05 | AM | 50 mn |
| MATHS B Paper 1 | Thur 24/05 | AM | 1h30 |
| ENGLISH LIT. Poetry Paper 2 | Fr. 25/05 | AM | 1h30 |
| HISTORY Paper 1 | Mo 04/06 | AM | 1h30 |
| ENGLISH LANGUAGE B | Tues 05/06 | AM | 3h |
| SPANISH Listening & Reading | Wed 06/06 | AM | 2h15 |
| MATHS B Paper 2 | Thur 07/06 | AM | 2h30 |
| HISTORY Paper 2 | Fr 08/06 | PM | 1h30 |
| CAMBRIDGE FCE Written | Tue 12/06 | 8h-12h45 | 4h45 |
| CHEMISTRY Paper 2 | Wed 13/06 | AM | 1h |
| CAMBRIDGE CAE Written | Wed 13/06 | 8h-12h45 | 4h45 |
| PHYSICS Paper 2 | Fr 15/06 | AM | 1h |
| CAMBRIDGE CPE Written | Thur 14/06 | 8h-12h45 | 4h45 |
| GERMAN Listening & Reading | Mo 18/06 | AM | 2h15 |
Nine of our students attended the Paris MUN weekend conference between the 19th and 21st November accompanied by Sylviane LAGET-DROP and David LEWIS(Agessia co-ordinators).
At this annual simulation of the United Nations, each student (Premieres and Terminales) was designated a committee after selecting a country he/she was interested in discovering and representing at this forum (please see below for those who took part). During the weekend, our delegates spoke on behalf of Burkina Faso or Nigeria.
After an inspiring address from Sarah Camboge, the conference’s UN secretary general (« our earth is brimming with chaos »and « our dedication to our responsiblities – including the responsibility of tolerance – is being tested as never before ») our delegates debated and voted on clauses and amendments in order to forge and then pass as many resolutions as possible in their committees.
Topics ranged from the use of civilian and military drones to the rights of the Sahwari people of the Western Sahara, from the future of ‘smart cities’ to monitoring the use of biotechnology. The conference venue was the Palais de la Mutualité in the 5th arrondissement and the staff there served much needed coffee and croissants during the breaks !
On Monday morning, all 800 delegates (from 56 schools from all over the world) came together for the General Assembly which looked at how the United Nations can combat ‘Corruption in Aid’.
Closing the conference, the PaMUN Director, Mr Ouriel Reshef urged the delegates to ask themselves and then act on the three questions posed by the philosopher Voltaire:
1) What can I believe ?
2) What do I know ?
3) What should I do ?
Thank you again to Catherine Chavane (Agessia treasurer) for researching and then booking the well run and welcoming hotel which is in walking distance of the venue. Next year PaMUN returns to the refurbished UNESCO building.
Thank you also to all our students whose engagement was impressively mature and whose company was delightful, be it around the conference venues or during our evening meals at the pizza and sushi restaurants close to our friendly hotel. You can see photographs and post-conference interviews with some of our delegates on the AGESSIA website.
Each delegate received a certificate of MUN attendance. The list of Lycée Duby delegates who participated this year follows :
Lisa BARRAU (Environment Committee)
Erin COYLE (Special Conference on reconstituting the UN Charter)
Eve FRASER (Political Committee) ;
Krista GARCIN (Environment Committee)
Elia LOVY (Human Rights Panel) ;
Camille MALERBE DERAM (Economics and Society Committee) ;
Lucia RODRIGUEZ BAI (UN High Commission for Refugees)
Anastasia TORJUSSEN (Human Rights Panel)
Alexander WHITE (Disarmament Committee)
David Lewis, 30.11.16.
YRNE, Promotion 2016, en 1e année en Commerce international à University College of Dublin (UCD) , à DUBLINRencontre avec Mélissa Byrne, 18 ans, titulaire d’un Bac ES OIB (mention Bien) obtenu en juin 2016. Lauréate du Cambridge CAE et de l’iGCSE language, pour lesquels elle a obtenu respectivement les notes B et A, elle étudie aujourd’hui à Dublin.
Pourquoi t’es-tu dirigée vers le University College Dublin (UCD), en Commerce International ?
Mon père, qui est irlandais, a fait ses études là-bas et des dizaines d’années après il me parle encore de ces quatre années comme les meilleures années de sa vie. J’adore aussi ce pays, dans lequel je suis allée en vacances, au moins une fois chaque année. La famille sur place a aussi contribué au fait que je choisisse l’Irlande, au détriment des écoles que j’avais sélectionnées sur UCAS [système universitaire anglais, ndlr] par exemple.
De plus, la qualité et la renommée des deux écoles qui m’intéressaient – UCD et Trinity – m’ont beaucoup motivé. Après avoir fait des recherches, j’ai vu que UCD était la meilleure école en Irlande, pour faire du commerce, donc j’ai immédiatement décidé que c’était ce que je voulais. En Terminale, les professeurs mettaient plutôt l’accent sur UCAS, les écoles au Canada et aux Etats-Unis, mais M. Lewis m’a expliqué la marche à suivre…
Comment fonctionne le système irlandais ?
En Irlande, l’équivalent de UCAS pour le Royaume-Uni ou d’APB pour la France, est le CAO – Central Applications Office. On s’inscrit avant le 1er février et on sélectionne jusqu’a dix cours qui nous intéressent. Il peut s’agir de différents cours dans différentes écoles, ou dans la même.
Pour ma part je m’y suis prise trop tard, ne connaissant pas la deadline, mais CAO rouvre pour les candidats retardataires en mai : donc pas de panique si vous ratez la deadline !
Il n’y a pas d’offres. Le système marche en fonction de l’offre et de la demande donc c’est seulement en regardant les notes demandées au cours des années précédentes pour les cours qui nous intéressent, que l’on peut se faire une idée de ses chances d’être accepté ou pas. Il n’y a pas de « personal statement » à faire, et la procédure est très simple : ça m’a pris 40 minutes.
Dès que j’ai eu mes résultats du Bac, j’ai envoyé des copies par la poste. Le seul bémol est que les offres sont faites seulement une fois que les élèves irlandais reçoivent leurs résultats, donc fin août… Pour ma part, mes notes étaient plus hautes que je ne l’espérais et donc j’étais quasiment sûre d’être prise, j’avais quand même un plan B en France au cas ou…
L’université en Irlande coûte environ 3000 euros l’année, mais pour les élèves étrangers il faut garder en tête le prix des chambres sur le campus, qui varient de 6000 à 10 000 euros l’année.
Comment se déroule ton année universitaire ?
Pour mon cours – Commerce International – au premier semestre j’ai eu environ 15 heures par semaines, ce qui change énormément des journées chargées du lycée. Par exemple, ici le vendredi je n’ai pas cours ce semestre. On a six modules par semestre : ce semestre, j’ai trois modules obligatoires : Business in Society, Data Analysis, Maths for Business. J’ai également deux modules de langues (j’ai choisi français et espagnol, mais à la fin du premier semestre de la première année on doit en abandonner une) et un « elective », c’est-à-dire un cours de mon choix qui peut être de n’importe quelle discipline, cet « elective » nous permet de découvrir autre chose. Pour chaque matière, on a entre 2 et 3 heures de cours magistraux (de 100 à 300 élèves) et, pour certaines, une heure de tutorial où l’on est environ 30 par classe.
On a des examens deux fois par an, avant Noël et en mai. C’est super qu’on les ait avant Noël parce qu’à Noël on peut vraiment se reposer et profiter des vacances. En janvier, on changera complètement de modules et les examens de mai porteront donc sur ce que l’on aurafait de janvier à mai. Pour la plupart des matières on a, à peu près, 40 % de contrôle continu et 60 % durant les examens finaux. Les 40 % peuvent être cumulés au fur et à mesure du semestre, en fonction des matières. Ce sera grâce à des projets de groupe, des débats de groupe, des tests et des présentations.
Un « pass » s’obtient avec la note de 40 %. Donc si on s’investit bien pendant les semestres, avec les continuous assessments et les examens ce n’est pas trop dur… J’espère. Si on rate un module du semestre 1, on peut le repasser avec les examens du semestre 2 en mai. Si on rate un module du semestre 2, on peut le repasser en septembre.
Quel bilan dresses-tu aujourd’hui ?
Ça fait maintenant trois mois que j’ai déménagé, et je suis très contente. J’ai choisi ce cours car c’était assez général et que je ne savais, et ne sais toujours pas d’ailleurs, ce que je veux faire plus tard. Mais j’avais peur qu’au final ce cours « pratique » ne me plaise pas et c’est totalement le contraire, j’adore ce que j’étudie c’est tellement intéressant ! Même les maths qui me faisaient très peur sont très très « faisables » ! Dans cette matière, je sens vraiment que quand j’y mets le travail, c’est récompensé. Les exercices des quizz et des examens sont exactement comme ceux qu’on fait pour s’entraîner : il n’y a pas de surprises. Les professeurs sont aussi extrêmement intéressants, ils sont vraiment passionnés par ce qu’ils font, font aussi des recherches et ont très souvent leur entreprise par ailleurs et des expériences dont ils témoignent.
Il faut aussi être autonome dans son travail mais je pense que l’OIB nous a bien aidés pour y parvenir. Il y a pas de devoirs, il y a des exercices conseillés mais il faut se discipliner et se forcer. C’est aussi très important de s’imposer une routine. L’école, elle-même, est très moderne et l’architecture est super. J’ai été très agréablement surprise !
Comment se déroule « l’intégration » ?
S’intégrer n’était pas difficile mais peut-être pas aussi facile que je ne le pensais. Il faut aller vers les gens mais c’est très faisable. Le travail de groupe aide, des soirées commerce en ville sont organisées, et on a organisé un voyage à Amsterdam pour quelques jours en mars : donc on apprendra encore mieux à se connaître là-bas. Je pense que je m’imaginais plus que j’allais me faire plein d’amis dès le départ mais, à la semaine 12, je rencontre encore des gens sympa chaque jour ! On a aussi été mis dans un groupe de 8-10, géré par un élève de 2nde année, à qui on peut poser des questions, se référer, avec qui prendre un café. Ce qui aide beaucoup aussi !
Deux autres Français, avec qui je m’entends bien, sont aussi présents dans mon cours mais j’aimerais bien en rencontrer plus. Il y a la French Society mais ce sont plutôt les élèves qui veulent apprendre le français qui y vont. Cela dit, ils sont gentils aussi donc ca va, on les aide. Il y a quelques autres nationalités, notamment des Américains, mais honnêtement on se mélange pas mal donc on n’y prête pas trop attention.
Je suis logée sur le campus et ma résidence est “catered” donc on n’a pas à cuisiner : ce qui est pratique, parce que je suis pas très douée… J’espère l’être à nouveau l’année prochaine car c’est très pratique, je suis à 5 minutes à pied du bâtiment de Business. Le cours de Commerce dure trois ans et celui de Commerce International dure quatre ans, la 3ème année on part à l’étranger, dans le pays de la langue qu’on a choisie. Je ne sais pas trop encore ou je voudrais travailler plus tard. Peut-être quelques années en Irlande, ensuite un peu en France et puis à l’étranger après, mais je ne sais pas encore où. Depuis mon stage de 2nde , j’ai en tête que je veux être Manager dans les Ressources Humaines, mais il se peut que je change d’avis. J’ai encore le temps, peut-être de la communication ? Je ne connais personne de Duby ici mais avant de venir, je m’étais renseignée et il y en avait deux ou trois, plus âgés, que je n’ai pas vus sur place.
Fête du Livre 2016 : invitée d’honneur l’écrivain- militante indienne Arundhati Roy
Arundhati Roy is author of The God of Small Things and many essays on contemporary issues ranging from culture, the environment, politics and more particularly Indian politics.
On Saturday morning, 15th October, during the weekend of the 2016 Fête du Livre devoted to the works of Arundhati Roy, students from the Lycées Georges Duby and other local international sections asked questions to Ms Arundhati Roy, the author of the Booker Prize winning novel « The God of Small Things », for close on 2 hours.
Ms Roy was received very warmly as she spoke at length about her involvement in the politics of contemporary India, often referring to « The God of Small Things » – which all the students who were present are currently studying as part of their English Literature programme for the OIB – and giving us a glimpse of her new novel, « The Ministry of the Utmost Happiness ».
Below are some of the ‘food for thought’ she offered the student audience, in response to their many questions.
“Language is like the skin on my thought. The English I write has been fashioned by and contains the imagination of many other languages. »
« India is a country where several centuries coexist simultaneously – from the 21st century to the 6th century – and it is a complex cauldron of languages. »
« At the centre of the book is a broken heart. In the new book, the heart is shattered, it is in smithereens, but this doesn’t mean that such a heart can’t be carefully put back together again – piece by piece – and be better for it. »
« Someone once said to her that « The God of Small Things » is « a book that one can smell »
« Hope has nothing to do with reason. Even if we know we are going to lose, we don’t want to be on ‘the other side »
« I’m not brave, I’m not courageous ; I’m just … naughty ! I’m not controversial – controversy already exists and these battles have existed over the centuries. »
« People who think they are free are really enslaved and people who know they are enslaved are to some extent free. »
« Caste is the engine that drives India and India is a society of apartheid. »
« Even in supposed democracies, the people don’t matter (supporting her opinion that today governments and corporations rule together; they ride rough shod over the people). »
« Losing your space, losing your place is another form of imprisonment. »
« The caste system and capitalism have come together to form a very toxic establishment. Capitalism colonises your dreams. The world is being prepared to [accept] crude categories of identity. »
« In India even the fascists can’t march in time – somethings always gets screwed up ! I laugh out loud at the unpredictability, the anarchy of life in India. You can fight fascism and fundamentalism – but how do you fight stupidity ?! People are swimming around in a sea of nonsense most of the time. »
« Let’s remember all the September 11ths – [including] the Balfour Declaration which created the state of Israel and the first Iraq War, George Bush Senior’s war and the coming to power of Pinochet after the murder of President Allende. »
A piece of advice to share : » I have enough. I don’t want more. Such a position makes you strong and hard to manipulate. So much is delightful – to see joy even in the darkest places, one must seek out beauty in its lair. »
We are all students.”
The student audience gave her a standing ovation.
Here are hereafter some more information concerning the afternoon debate in la Méjane, with Jean Claude Carrière.
Arundhati Roy: I claim that love of flags, nations and other patriotic manifestations have shown their limits. It is time to learn to love other things. Nationalism has too long fenced in people in their separate countries with tight borders and our imagination is under siege. Writers don’t question enough this idea of nationalism. « I’m an anti-national and proud of it ».
Arundhati Roy: Creation of nation states linked to wars and genocides. As soon as India stopped being a colony, it became a coloniser with its army deployed against certain areas.
Jean Claude Carrière added what we have to learn to love those who are different from us. Those who are like us are easy to love. Spoke of Pax Romana and centuries of peace in an immense empire which showed great religious tolerance. Even a temple dedicated to unknown gods!. Stability of the empire shaken when the Christian emperor demanded that only one religion be allowed. Diversity of empire censured and led to its downfall. Unification leads to chaos.
Arundhati: two myths in India – myth of Hinduism (India is Hindu) and myth of tolerance. In India people saw themselves not as Hindu but as belonging to a caste. When Muslims came, many ‘outcastes’ converted to Islam and later to Chritianity or Sikhdom. But recently in India, with Hindu government, anxiety about demography. Fear of being outnumbered by other groups has led Hindus to woo Dalits and keep them in the Hindu fold. The rhetoric of India as a Hindu nation is fascist nationalism. In this nation, Muslims are like the Jews in Germany. Muslims are often attacked and lynched and terrorised. The battle in Kashmir keeps nationalism on the boil. So now Modi needs a war to put nationalism high on the agenda.
Both keen to colonise minds and the imagination. Many different colonisers in India. One can consider Hinduism as another form of colonialism. Using and misusing traditional myths to impose its superiority. Old myths are being contested.
J C Carrière: Si on lie gouvernement et religion la guerre est inevitable. Si on introduit la religion dans l’élaboration des lois on aura besoin de la guerre car alors les gens se ‘mobilisent’ littéralement derrière l’idée de patrie et nation.
Arundhati: Capitalism is a new religion and has it prophets (and profits – my joke). India was a non-aligned country before. Now an ally of US and Israel. This opened the lock that unleashed the free market on India and Hindu nationalism. Both have their own terrorists. The Maoists for the free market and the Muslims for the Hindu nationalists. The rhetoric of terrorism allowed the creation of a police state. Religious chauvinism and depredation of the free market go hand in hand.
Bollywood. In the 70s Indian films were for a popular audience, large cheap cinemas full of the poor. The hero for the film was a poor guy who fought against landowners, money lenders and corrupt politicians. Today the cinema is expensive, beyond the reach of the poor and the films don’t talk about them. The hero lives in an expensive apartment with helipad in the city. . The poor have disappeared form the cultural imagination. When they appear in western films such as Slumdog, poverty is presented as a natural phenomenon, not apparently caused by anything.
Arundhati Roy: my body feels different when writing fiction and non-fiction. With non-fiction I want to intervene in the real world but with fiction I try to create a universe.
More about Arundhati Roy
Arundhati on race and caste in India – powerful first 15 minutes: https://www.youtube.com/watch?v=ZBJ6oBENENo
Arundhati explains why she thinks India is a corporate upper caste state: https://www.youtube.com/watch?v=Ej762GCi9Zc
Arundhati describes what she loves about India:
https://www.youtube.com/watch?v=VP-1-RTOgfE
Arundhati on Kashmir : https://www.youtube.com/watch?v=IX1hAQt-DWI
eZoé ROBERT, Promotion 2014, en 2e année actuellement au CEFAM (Ecole de Management Franco-américaine) à LyonProfil : Zoé a obtenu un bac international, section S en 2014. Bilingue, elle a obtenu le Cambridge CAE note B.
Zoé, tout d’abord, un très grand merci de nous donner de vos nouvelles et de nous faire partager votre expérience post-bac après vos 3 années au lycée Georges Duby en section OIB.
Zoé, pourquoi avoir choisi en terminale cette école (CEFAM)? Comment l’avez-vous connue ?
Je voulais faire du business (apprendre à gérer des projets, évènements…). J’ai choisi cette école car je voulais rester en France encore quelques années avant de partir à l’étranger et cette école me permet de faire ma dernière année d’étude aux Etats Unis.
Quelles sont les exigences pour pouvoir y rentrer ? Quelles sont les procédures d’entrée ?
Pour intégrer l’école, il y a eu un examen d’entrée comprenant : reading, writing, speaking en anglais. Un entretien avec un ancien du CEFAM, un test de culture générale, et un test de math. Niveau de l’examen : facile (surtout l’anglais pour un élève de Duby)
Quel est le coût de la formation ?
Des frais de scolarité d’environ 8 000€ par an
Comment s’organise le cursus scolaire ?
Il y a 18h de cours par semaine. 2 semestres par an. 20 élèves max par cours.
Des cours de maths, anglais, comptabilité, économie, management (première année) puis des cours de finance, marketing, statistiques, droit des affaires… en deuxième année.
Il y a beaucoup de présentations orales à faire seul(e) ou en groupe.
Il y a également des devoirs écrits pas trop longs à rendre.
Comment le passage en année N+1 est-il géré ?
Le principe de l’école est de valider chaque matière pour passer à la matière suivante grâce à un contrôle continu et à des partiels de milieu et fin de semestre.
Après quelques mois/ans passés dans l’école, est ce que la réalité correspond/dépasse vos attentes ? Pourquoi?
Je suis très satisfaite et la réalité correspond à mes attentes.
A t-il été facile de s’intégrer ? Êtes-vous beaucoup en contact avec d’autres français ? D’autres nationalités?
Assez facile de s’intégrer car c’est une petite école. Il n’y a pratiquement que des français. Il y a aussi des étudiants américains qui viennent pour un semestre depuis les universités partenaires. Et il y a quelques étrangers également.
Comment êtes vous logés ?
Pas de campus. Je suis en résidence étudiante dans un studio.
Y a-t-il des stages obligatoires pendant la formation ? Où les avez-vous vous effectués ?
Il y a deux stages : 3 mois et 6 mois (soit un total de 9 mois d’expérience avant de commencer la vie professionnelle).
J’ai exécuté mon premier stage à Dubaï dans la chaine hôtelière Four Seasons à l’accueil du restaurant principal.
Je démarre mon deuxième stage à Londres chez NBC en finance pendant 1 an.
Comptez-vous passer 3-4 ans sur le campus ? Et après, pensez vous travailler en France ? À l’étranger ?
Je compte passer 2 ans et demi sur le campus en France, puis 1 an dans une université partenaire aux USA. Et je souhaiterais ensuite travailler à l’étranger.
Avez-vous une idée précise de votre futur job ?
Je souhaiterais être chef de projet, mais je n’ai pas d’idée plus précise.
Y a-t-il d’autres élèves de Georges Duby qui ont fait la même école ?
Oui (au moins un).
Pour en savoir plus sur le CEFAM, vous pouvez visiter leur site internet www.cefam.fr/ ou leur page facebook www.facebook.com/CEFAM
Si vous aussi, vous souhaitez faire partager votre expérience du lycée, n’hésitez pas à envoyer vos articles par mail à info@agessia.com
Quelques photos de Flora et de sa correspondante canadienne, lors de son voyage à Havergal (26 mars au 17 avril).
Et aussi, au pied de notre belle montagne Sainte Victoire.
Six correspondantes australiennes de Geelong Grammar School sont actuellement au lycée jusqu’à début décembre..
Sortie à cheval !
Après la préparation des montures et un petit tour de carrière pour le réglage, 1h30 de balade en forêt…
Sortie aux Baux-de-Provence.
Nos jeunes australiennes se sont mises dans la peau des suppliciés du Moyen-Age !!!
Durant une randonnée à la montagne Ste Victoire
Un peu de détente après les visites dans la région (L’Occitane, Calissons du Roy René, …)
Enfin arrivés!
Haileybury school
Mais ou sont-ils? … il suffit simplement de remarquer qu’ils n’ont pas la tenue de l’école, ils ne portent donc ni veste ni cravate (cliquez sur la photo pour l’élargir). Une exception néanmoins: la professeur au centre de la photo.
Une belle bouchée de douze
Un bon porte-monnaie pour 12
12 élèves de Haileybury, accompagnés de deux de leurs professeurs de français Maud et Mike, ont partagé notre vie française pendant 4 semaines .
Ces 12 élèves ont pu découvrir le mode de vie français à travers les cours suivis au lycée G Duby, durant les visites organisées (l’Occitane, Manosque et la Provence, la fontaine de Vaucluse) et la vie quotidienne partagée avec leurs familles d’accueil.
